Les amis, c’est l’heure de faire le bilan en ce qui concerne cette formidable aventure qu’a été mon voyage aux États-Unis au printemps dernier pour m’en aller assister à la plus grande course automobile du monde : les 500 Miles d’Indianapolis !
Comme vous le savez probablement déjà, du 20 au 29 mai dernier, je n’ai absolument rien manqué de toute l’action en piste et des coulisses de cet événement extraordinaire. J’ai réellement passé 10 jours inoubliables à Indianapolis et tout ce que j’ai pu poster sur ce blog ou les réseaux sociaux n’en retranscrit finalement qu’une infime partie.
J’ai pratiquement tout vu en terme de course automobile (sur circuit exclusivement), qu’il s’agisse de F1, de CART, Champ Car et IndyCar, des 24 Heures du Mans, de DTM, de BTCC, j’en passe et des meilleurs, mais les 500 Miles d’Indianapolis 2016 resteront à n’en pas douter, dans le genre, le meilleur souvenir de toute ma vie.
Quelques chiffes pour résumer cette semaine extraordinaire, lesquels valent mieux que de longs discours :
- 0,0024 : en seconde, le finish le plus serré de toute l’histoire du speedway, à l’occasion des Freedom 100 (Indy Lights);
- 1 : le nombre de 500 Miles d’Indianapolis auquel j’ai assisté;
- 10 : le nombre de jours passés à Indianapolis;
- 30 : en degrés, la température moyenne durant mon séjour (avec des pointes à près de 40);
- 50 : le nombre d’autographes de pilotes que j’ai collecté, dont 24 vainqueurs de la course (tous sur un seul support, le guide officiel de la course);
- 98 : le numéro de course du vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis 2016 Alexander Rossi;
- 100 : le nombre de pages de mon album de souvenirs imprimé chez Photobox;
- 371,3 : en km/h la vitesse moyenne en qualification de James Hinchcliffe;
- 1054 : le nombre de photos conservées de l’événement;
- 2800 : en euros, le budget global de cette fabuleuse expérience.
Je vous conseille bien évidemment à tous de pouvoir vivre un jour cette expérience à fond, comme j’ai pu la vivre cette année !